Polyvalence et rentabilité : les clés du succès de Bon Appétit
Depuis 2011, Bon Appétit fait figure de valeur sûre à Haacht et alentour, avec un concept unique combinant boulangerie, boucherie et bistrot sous le même toit. Une polyvalence qui a valu à Bon Appétit de se distinguer de la concurrence et de se forger une solide réputation dans la région. Comment cette entreprise parvient-elle à relever les différents défis de l’horeca ? Découvrez ses trucs & astuces dans cet article de blog.
Conseil n°1 : Un minimum d’effort pour un maximum de service.
Combiner une boulangerie, une boucherie et un bistrot semble déjà être un immense défi en soi. Pourtant, Caroline de Bon Appétit va jusqu’à proposer des services supplémentaires en apportant quelques ajustements. Par exemple ses paniers petit-déjeuner, entièrement remplis de produits du magasin. Des paniers qui peuvent d’ailleurs être commandés facilement sur leur boutique en ligne ; il ne leur reste alors plus qu’à les remplir et à les livrer le matin même. Mais les entreprises aussi trouvent leur bonheur chez Bon Appétit. En plus des traditionnels sandwiches garnis, Caroline propose diverses solutions de lunch pratiques, en les présentant autrement. Ainsi, il y en a pour tous les goûts.
"Nous mettons l’accent sur les produits convenience. Nous nous distinguons par l’utilisation de produits de haute qualité."
Caroline, propriétaire de Bon Appétit
Conseil n°2 : Derrière chaque lancement réussi se cache un plan encore plus malin.
Le lancement de nouveaux produits exige de la préparation. Bon Appétit veille tout d’abord à ce que le produit soit aussi convivial que possible. Ce n’est que s’il est facile à préparer et se prête à une commercialisation tant au magasin qu’au bistrot qu’on l’inclut dans l’assortiment. Bon Appétit prend également soin de rédiger une fiche dès qu’un nouveau produit s’ajoute à la carte. Cette fiche produit précise notamment le coût alimentaire et comporte une feuille de route permettant à chacun de préparer le plat de la même manière. Tout ce travail préparatoire est bien sûr suivi du lancement. Pour assurer le succès de ces nouveaux produits auprès du public, on peut par exemple proposer des petites dégustations. Car, comme le dit l’adage : « L’amour passe par l’estomac ». Mais n’oubliez pas non plus la force des réseaux sociaux. Une photo appétissante du nouveau plat peut susciter un grand intérêt.
Conseil n° 3 : Un menu zéro déchet ? C’est possible !
Réduire les déchets au minimum est essentiel pour Caroline de Bon Appétit. Lors de la phase de développement de nouveaux plats, elle envisage la possibilité d’utiliser des ingrédients qui sont déjà sur place. Ainsi, elle évite non seulement le gaspillage alimentaire, mais aussi l’encombrement de l’espace de stockage. Bon Appétit travaille aussi sur les produits ready-to-bake. Résultat : tout peut être dégelé et cuit sur place, ce qui permet de ne rien jeter en fin de journée.
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